Quand un tatouage trahit : La première dame en RDC visite un commando FDLR blessé aux combats
- PoliScoop
- 26 janv.
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La République Démocratique du Congo (RDC) est à un tournant décisif, mais les choix du gouvernement actuel soulèvent des questions alarmantes. La Première Dame, Denise Nyakeru, a rencontré des blessés de guerre du Nord-Kivu sous traitement à Kinshasa. Pourtant, cette initiative humanitaire est obscurcie par un fait troublant : un militaire blessé portait un tatouage du "CRAP" (Commando de Recherche et d'Actions en Profondeur), une unité spéciale des Forces Démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR), un groupe reconnu pour ses crimes de guerre et son rôle dans le génocide contre les Tutsi au Rwanda.
Cette situation met en lumière une réalité dérangeante : le gouvernement congolais a des liens avec un groupe génocidaire, les FDLR, responsables du génocide contre les Tutsi au Rwanda. Le fait qu’un soldat puisse afficher un symbole de ce groupe au sein des forces armées congolaises indique non seulement une collaboration, mais également un passage aux aveux. Il semble que cela n'est pas une erreur mais un message de la part de Tshisekedi
À la communauté internationale, nous lançons un cri d'alarme : il est impératif de comprendre pourquoi le Rwanda appelle à mettre fin à cette collaboration avec des génocidaires postés à la frontière entre la RDC et le Rwanda. Ceci menace la paix régionale et justifie les mesures défensives mises en place par le Rwanda pour se protéger contre d'éventuels débordements.
Le peuple congolais mérite mieux. Il est temps d'exiger des comptes et d'interpeller le gouvernement sur ses choix. La communauté internationale a un rôle crucial à jouer pour garantir que la RDC ne devienne pas un refuge pour les génocidaires. La lutte pour la paix et la justice ne peut se faire en fermant les yeux sur des alliances inacceptables. Ensemble, nous devons nous lever contre cette trahison et exiger un changement radical.
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