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Certains affirment que le Rwanda est le problème de la région ? Mais attendez, gardez cette idée en suspens...

  • Photo du rédacteur: PoliScoop
    PoliScoop
  • 15 janv. 2024
  • 6 min de lecture

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Comme l'a proclamé John Maxwell, "Tout s'élève et s'effondre sur le leadership".

Le Rwanda, une nation en en constante métamorphose et transformation positive, témoigne de cette vérité fondamentale. Le Rwanda d'autrefois, une époque révolue, contraste nettement avec le Rwanda d'aujourd'hui. La tapisserie tissée par notre passé a été minutieusement brodée l'habile main de nos dirigeants. Hélas, c'est le leadership d'avant qui a engendré les dix commandements du "Pouvoir Hutu", nous précipitant dans l'abîme du génocide le plus épouvantable que le siècle ait connu : le génocide contre les Tutsis au Rwanda en 1994.


Le Rwanda d'hier était marqué par les chaînes de la pauvreté, relégué au bas des classements des nations, son potentiel obscurci. Le leadership d'autrefois considérait le Rwanda comme un vaisseau, un verre rempli à ras bord d'eau, une forteresse impénétrable où les réfugiés étaient privés de la consolation du retour. Aujourd'hui, trois décennies plus tard, non seulement ils sont revenus, mais nous avons ouvert nos cœurs pour accueillir des réfugiés venus de nombreux pays en proie aux conflits. Les gens ont désormais le privilège de choisir, de voter haut la main, déterminant s'ils se joindront à notre communauté ou chercheront d'autres destins. Alors qu'à l'époque des anciens régimes, le Rwanda restait un verre rempli d'eau, interdisant l'entrée à certains Rwandais, sans parler des étrangers.


Dans la trajectoire de notre nation, où le leadership a façonné notre destinée, nous osons nous tenir debout. L'admiration résonne à travers les vents d'Afrique, alors que nos efforts suscitent des conversations qui dépassent les frontières. Certains ont même proposé une idée audacieuse, suggérant un échange de présidents pour une simple année, témoignant de l'admiration qui transcende notre pays. Pourtant, au milieu de cette tapisserie de reconnaissance, une question déconcertante persiste : Comment pouvons-nous, avec nos aspirations et nos principes, être considérés comme un problème dans notre région ?


Si nous sommes en effet perçus ainsi, plongeons dans les profondeurs de la compréhension.

À travers l'immensité des réseaux sociaux, où les opinions convergent et les voix s'entremêlent, cherchons la vérité. Je vous implore, réalisez un sondage sur votre propre toile Twitter et présentez-nous un instantané, une capture d'écran révélant les sentiments des masses. Car dans le domaine de l'opinion publique, où bat le pouls des nations, nous trouverons notre réponse.

Voici donc deux sondages que je vous présente, créés par des Kényans et des Ougandais, ces derniers cherchant à contredire les premiers. Le résultat, reflet des voix collectives, résonne avec clarté. Voici que Paul Kagame émerge victorieux, son nom gravé dans un royaume qui transcende les frontières. Et ainsi, la question persiste : Comment pouvons-nous, avec nos triomphes et la voix retentissante du peuple, être considérés comme le problème ?



Dans cet énigme réside un murmure, une notion qui ne peut être étouffée. Il doit y avoir quelque chose, une essence que nous incarnons, qui heurte la sensibilité de certains, provoquant malaise et dissension.

Alors, laissons les sceptiques réfléchir, que leurs doutes soient mis en balance avec les échos retentissants de l'admiration. Si notre chemin a suscité l'envie ou l'irritation, qu'il soit alors le témoignage de notre engagement inébranlable. Car c'est dans notre approche unique, dans l'audace de défier les normes et d'embrasser notre propre destin, que nous trouvons l'essence de ce que nous faisons bien.

Si nous sommes un problème, que ce soit un problème qui découle de notre refus de nous conformer, de notre insistance à emprunter un chemin moins fréquenté. Que nos actions, nos réalisations et le soutien indéfectible de notre peuple soient le témoignage de notre droiture.

Dans cette grande tapisserie de dynamiques régionales, où les perceptions peuvent être déformées et les récits manipulés, nous restons fidèles à la vérité de notre parcours.


En effet, le Rwanda a connu des désaccords avec certains de nos pays voisins par le passé, comme l'Ouganda. Notre président a eu des différends avec Kikwete de Tanzanie, et nous sommes actuellement confrontés à des problèmes avec le Burundi et la République démocratique du Congo. La liste pourrait s'allonger, et n'oublions pas les désaccords de longue date que nous avons eus avec la France sur des questions importantes. Il y a également eu des cas où nous avons été en désaccord avec les États-Unis sur certains sujets. Cependant, il est essentiel de noter que ces désaccords ne font pas de nous des ennemis. Ils démontrent simplement que la voix du Rwanda ne peut et ne devrait être ignorée ou réprimée par quiconque.

Certaines personnes essaient de présenter le Rwanda comme un problème dans la région, en utilisant ces désaccords comme des munitions. Mais la vérité est que le Rwanda a établi une vision claire pour lui-même. Nous avons fait savoir au monde qu'il y a des lignes rouges à ne pas franchir. Nous avons posé des fondations et des principes qui guident nos actions. Peu importe qui franchit ces lignes ; cette personne ou ce pays aura des problèmes avec le Rwanda. C'est un fait.


Par exemple, le Rwanda s'est engagé fermement en faveur de l'autodétermination. Si un pays pense qu'il peut imposer ses points de vue au Rwanda sans engager de consultation, ce pays rencontrera des difficultés dans sa relation avec nous.

Le Rwanda a clairement dit "PLUS JAMAIS". Si un pays nie ou minimise le génocide contre les Tutsis au Rwanda, ou soutient ceux qui en sont responsables, il rencontrera des problèmes avec notre nation, indépendamment de sa puissance ou de sa proximité. Les principes du Rwanda restent inébranlables, quelle que soit la partie impliquée.

L'histoire du Rwanda a connu sa part de désaccords avec les pays voisins et d'autres. Cependant, ces désaccords ne doivent pas être interprétés comme une preuve que le Rwanda est un problème dans la région. Ils sont le reflet de notre engagement envers notre vision, de notre détermination à défendre nos principes et de notre refus de transiger sur des questions d'importance capitale. Les principes du Rwanda restent fermes, quelle que soit la partie impliquée dans nos interactions. C'est ce que nous faisons bien, les résultats que vous louez découlent de cette source "Agaciro".


Le Rwanda a clairement déclaré "PLUS JAMAIS ÇA". Si un pays nie ou minimise le génocide contre les Tutsis au Rwanda, ou soutient ceux qui en sont responsables, il rencontrera des problèmes avec notre nation, indépendamment de sa puissance ou de sa proximité. Les principes du Rwanda restent inébranlables, quelles que soient les parties impliquées.

L'histoire du Rwanda a connu sa part de désaccords avec les pays voisins et d'autres. Cependant, ces désaccords ne doivent pas être interprétés comme une preuve que le Rwanda pose problème dans la région. Ils témoignent de notre engagement envers notre vision, de notre détermination à défendre nos principes et de notre refus de compromettre sur des questions d'une importance capitale. Les principes du Rwanda restent fermes, quelle que soit la partie impliquée dans nos interactions. C'est ainsi que nous agissons correctement, les résultats que vous louez découlent de cette source "Agaciro".

Chaque aspect de l'existence, qu'il s'agisse d'une ascension glorieuse ou d'une descente désolée, trouve son origine dans le domaine du leadership. Le Président Paul Kagame, homme d'État visionnaire, n'a pas seulement érigé des infrastructures tangibles dans le pays, mais a méticuleusement nourri la trame même de notre puissance cognitive. Nos esprits, autrefois entravés par les chaînes de la tromperie coloniale, ont été libérés. Nous ne nous courberons plus sous le poids de la coercition, car nous avons découvert la valeur intrinsèque qui réside en nous. Nous restons résolus, inébranlables, conscients que notre avenir et notre bien-être reposent entièrement entre nos mains. Depuis longtemps, nous avons reconnu la dure réalité qu'il n'existe aucune autre nation ou institution responsable de notre destin collectif.



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"Si vous m'avez laissé seul sur celui-ci, vous devriez me laisser seul sur mes décisions quant à la façon de vivre ma vie." S.E Président Paul Kagame

Dans cette déclaration puissante réside l'essence de notre autonomie, notre détermination à façonner notre propre récit. Nous avons laissé de côté les ombres de l'influence extérieure, taillant notre propre chemin vers le progrès et l'autodétermination. À travers l'épreuve de la transformation, le Rwanda est apparu comme une nation fortifiée, son esprit indomptable.

Ainsi, que l'on sache que la montée et la chute des nations, le flux et le reflux des civilisations, sont inexorablement liés à la qualité du leadership. Dans l'exemple éclatant du Rwanda, nous trouvons réconfort et inspiration - un témoignage de la puissance d'un leadership visionnaire et de l'esprit inébranlable d'un peuple uni.

Nous concluons par ce magnifique chœur, à l'unisson : "Ni Wowe" !


 
 
 

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